Echos

D ans la série Echos (1992) on assiste à la disparition de la silhouette anthropomorphique. La figuration de l'homme apparaît dispersée au coeur des éléments, l'eau, le feu, l'air. Le corps est encore présent mais seule sa géométrie est figurée, une géométrie cellulaire, neuronale.
Les toiles sont, comme leur titre l'indique, «des fragments», des géométries indépendantes qui préfigurent une future recomposition.